Présentation générale

Nymphalis est un bureau d’études et de conseils en écologie.

Fort de l’expérience de ses créateurs dans le domaine de l’écologie appliquée, Nymphalis ambitionne de travailler en étroite concertation avec ses clients pour qu’ils appréhendent mieux l’« écologie » (littéralement la « science de l’habitat ») .

Nymphalis se donne pour objectif d’apporter une expertise objective, indépendante et transparente sur les enjeux d’un territoire tant en matière de biodiversité qu’en termes de fonctions assurées par cette biodiversité. Nymphalis souhaite ainsi faire connaître, de façon accessible et pédagogique, les écosystèmes, leur fonctionnement et leurs fonctions pour une meilleure prise en compte dans le développement de nos sociétés.

Et parce que l’avenir de nos sociétés et de notre « Habitat » appartient à tous les hommes, Nymphalis est une société coopérative, qui s’inscrit dans le principe d’une Economie Sociale et Solidaire, basée sur le partage et l’échange entre tous ses collaborateurs et partenaires, qu’ils soient internes ou externes à la structure.

Un statut coopératif (SCOP)

Après seulement quelques séances de réflexion à ce sujet, le statut SCOP s’est imposé comme une évidence aux fondateurs de Nymphalis. Ses valeurs se rapprochent des messages que nous souhaitons véhiculer pour une meilleure prise en compte de notre environnement dans nos sociétés. Nous souhaitons faire partager notre sentiment à tout à chacun que la « coopération » procure finalement plus de bénéfices par individu.

Une gouvernance démocratique

Au sein des sociétés coopératives, les décisions sont réfléchies, discutées puis votées en Assemblée générale. Cette participation de chacun contribue à une meilleure appropriation de l’entreprise et, surtout, au partage de valeurs communes, socle indispensable pour tout simplement vivre « en société ».

Nymphalis est composé majoritairement de coopérateurs salariés avec un partage équitable de la gouvernance (chaque associé = 1 voix, quelque soit le montant du capital apporté).

Une gestion équitable et sécuritaire des bénéfices

Une part est mise en réserve (15 %), afin d’assurer la pérennisation et le développement de l’entreprise ;

Une part est allouée à tous les salariés sous forme de participation (entre 33 % et 50 %) récompensant ainsi l’implication collective ;

Une part est reversée aux associés sous forme de dividendes (maximum de 33 %).

Une déontologie affirmée

Nymphalis est signataire de la charte d’engagement des bureaux d’études dans le domaine de l’évaluation environnementale qui « a pour ambition de définir des engagements pris par les bureaux d’études afin de contribuer à satisfaire, en toute transparence, les attentes des maîtres d’ouvrage et des représentants des autorités administratives amenés à donner leur avis sur l’évaluation environnementale ».

Des références à cette charte sont faites dans les Conditions Générales de Vente de Nymphalis.

un exemple très répandu de coopération entre espèces dans la nature : la pollinisation des plantes à fleurs par les insectes (ici <em>Andrena lagopus</em> sur une fleur de radis sauvage). L’insecte y gagne une provision de nourriture, la plante le transport de son pollen.

un exemple très répandu de coopération entre espèces dans la nature : la pollinisation des plantes à fleurs par les insectes (ici Andrena lagopus sur une fleur de radis sauvage). L’insecte y gagne une provision de nourriture, la plante le transport de son pollen.

un exemple très répandu de coopération entre espèces dans la nature : la pollinisation des plantes à fleurs par les insectes (ici <em>Andrena sardoa</em> sur une fleur d'asphodèle)

un exemple très répandu de coopération entre espèces dans la nature : la pollinisation des plantes à fleurs par les insectes (ici Andrena sardoa sur une fleur d'asphodèle)

un exemple très répandu de coopération entre espèces dans la nature : la pollinisation des plantes à fleurs par les insectes (ici la commune <em>Halictus scabiosae</em> sur une fleur de salsifis sauvage)

un exemple très répandu de coopération entre espèces dans la nature : la pollinisation des plantes à fleurs par les insectes (ici la commune Halictus scabiosae sur une fleur de salsifis sauvage)

un exemple de coopération entre individus d’une même espèce : le repérage des proies par certaines espèces de rapaces (ici un Vautour fauve)

un exemple de coopération entre individus d’une même espèce : le repérage des proies par certaines espèces de rapaces (ici un Vautour fauve)

un exemple connu de coopération très rapprochée (ou symbiose) entre deux espèces dans un environnement hostile : le lichen (ici <em>Lobaria pulmonaria</em>). Sorte de chimère à bénéfices et efforts partagés entre une algue et un champignon.

un exemple connu de coopération très rapprochée (ou symbiose) entre deux espèces dans un environnement hostile : le lichen (ici Lobaria pulmonaria). Sorte de chimère à bénéfices et efforts partagés entre une algue et un champignon.

un exemple de pollinisation non coopérative entre un insecte et une plante : la pseudo-copulation chez les orchidées du genre Ophrys (ici l’<em>Ophrys</em> brun pollinisée par une abeille du genre Andrena). La plante leurre l’abeille mâle en mimant l’odeur et la forme d’une potentielle partenaire sexuelle.

un exemple de pollinisation non coopérative entre un insecte et une plante : la pseudo-copulation chez les orchidées du genre Ophrys (ici l’Ophrys brun pollinisée par une abeille du genre Andrena). La plante leurre l’abeille mâle en mimant l’odeur et la forme d’une potentielle partenaire sexuelle.